Le carnet de Marie-Claude

Je ne sais pas exactement par où commencer. Peut-être parce que ce que je ressens en ce moment est un mélange de tout : de l’excitation, de la fébrilité, un brin d’insécurité aussi. Mais surtout, un immense sentiment d’élan, de vérité. Comme si quelque chose en moi, que j’ai toujours su présent, prenait enfin toute sa place.

Toute ma vie, j’ai suivi mon instinct. J’ai osé aller là où mon cœur me disait d’aller, même quand ça semblait flou ou risqué. Aujourd’hui, je me retrouve devant un nouveau chapitre, et c’est probablement l’un des plus importants.

Lancer le Mouvement MCS, ce n’est pas juste un projet. C’est un engagement profond envers moi-même et envers vous. C’est la volonté de créer un espace où l’on pourra vieillir autrement, où l’on pourra enfin redéfinir ce que signifie être une femme à toutes les étapes de notre vie.

Mais je ne vous mentirai pas : c’est vertigineux. Parce que même si j’ai toujours cru en moi, il y a cette petite voix – celle qui, je pense, habite toutes les femmes – qui parfois chuchote : « Et si tu n’étais pas à la hauteur? »

Et puis, il y a l’autre voix. Celle qui vibre plus fort en moi en ce moment. Celle qui dit que oui, j’ai le droit d’être ici, d’avoir des ambitions, d’avoir envie de quelque chose de grand. Que j’ai en moi la femme d’affaires que j’ai longtemps laissée dans l’ombre, qui attendait simplement que je lui fasse

Confiance.

Alors, je me lance. Avec vous. Avec tout ce que je suis.

Le Mouvement MCS sera un espace de partage, de découvertes, d’expériences et de réflexion sur comment nous voulons avancer dans le temps, avec force et douceur à la fois. Il sera fait d’émotions, d’histoires vraies, de rencontres qui nous feront grandir. Il sera vivant, vibrant, imparfait, en constante évolution. Et surtout, il sera porté par nous toutes. Parce que je sais que je ne suis pas seule à ressentir ce besoin de changement, de liberté, de réappropriation de notre futur.

Merci d’être là. Merci de me donner l’audace d’aller au bout de cette intuition qui brûle en moi.

On y va ensemble?

Marie-Claude